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Les pièges de l’externalisation offshore

Les pièges de l’externalisation offshore

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Externalisation, outsourcing, BPO, externalisation offshore, tout ce qui sonne comme de la délocalisation dérange en France. Pourtant, les consommateurs se plaignent également du prix des prestations et prennent référence sur des pays externalisant. Puisqu’on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre, il faudra choisir. Beaucoup ont franchi le cap en choisissant de confier des tâches encombrantes à des prestataires pour se concentrer sur leurs cœurs de métier. Que ce soit à Madagascar, dans l’Océan Indien, en Chine ou en Europe de l’Est, il existe des précautions à prendre pour délocaliser en toute quiétude.

Ne jamais se précipiter

Avant d’entamer le projet d’outsourcing, il vaut mieux prendre le temps de se poser les bonnes questions. Indépendamment des offres, les entreprises peuvent commencer par déterminer quelle partie de leurs processus elles veulent externaliser.

Avant de conclure avec le prestataire outsourcing, la lecture du cahier de charge s’impose. Est-ce que l’offre correspond effectivement au besoin ? Est-ce que la fiscalité et les obligations sociales locales seront avantageuses ? Quelles références le prestataire peut-il apporter ? Qu’en est-il de la sécurité des données ? Une fois la structure mise sur pied, la société deviendra-t-elle dépendante du prestataire ?

Doser sa confiance envers le prestataire outsourcing

Le retour sur investissement sera déterminant pour la sélection du partenaire d’externalisation. Cependant, le prix ne doit pas obnubiler. L’outsourcing permet d’épargner 30 à 60% du budget de fonctionnement, mais les pertes seront énormes si le système ne marche pas. Solution : graduellement accorder sa confiance et tester par de petites tâches puis s’assurer sur la qualité avant d’aller plus loin.

La question des rapatriements des devises est à méditer. Si votre opérateur BPO se trouve à Madagascar, il n’y a pas de raison que l’argent soit viré exclusivement à Port-Louis île Maurice ou à Hong Kong par exemple.

En matière d’externalisation il faut se préparer à tout

Inutile de dire qu’il faut un contrat en béton. De préférence, choisissez le droit français en cas de litige. Corollairement, avoir un avocat issu du pays de délocalisation serait prudent. Insistez sur le mode de facturation et prévoyez les coûts cachés. Les clauses de confidentialités envers l’opérateur BPO sont à rédiger scrupuleusement.

Préparez la sortie. Prenez les dispositions pour qu’un dossier en cours de traitement puisse être transféré vers un autre prestataire à tout moment.

En dernier non des moindres, la communication entre les deux parties doit être fluide et sans complexe. En plus d’un interlocuteur local, on devrait pouvoir atteindre les techniciens locaux.

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